25×35
lavis d’encre de chine
encre de chine
Ombres des derniers aborigènes de Tasmanie…
Quand la civilisation les découvrent au 17 ème siècle, ils vivent encore comme au paléolithique, de chasse et de cueillette, sans posséder la maitrise des outils de pierre polie.
Plus tard, en 1825, les colons anglais, lassés de partager cette terre, déclenchent la « guerre noire »; but avoué : acculer les aborigènes dans la presqu’ile de Tasman pour les capturer. Bilan final : le colonel Arthur et ses 5000 hommes, après plusieurs mois de traque acharnée, ne parviennent à s’emparer que d’une femme et d’un enfant endormi…
Civilisation : 0 - Sauvages : 1
En 1831, un homme seul réussit là où une armée a échoué; le misionnaire George Robinson gagne leur confiance et leur fait abandonner leur vie nomade.
Civilisation : 1 - Sauvages : 1
On leur construit des maisons, on les force à porter des vêtements et on leur apprend la religion chrétienne, le salut de l’âme éternelle après la mort.
Juste à temps pour qu’ils puissent vérifier par eux-même si c’est vrai. L’abandon de leur mode de vie les décime. En 1847, il n’en reste qu’une cinquantaine.
La dernière représentante des aborigènes tasmaniens, Truganini, meurt en 1876.
Civilisation : 2 - Sauvages : 1
(d’après AGL Shaw – « Peuples du monde entier »)
24×30
encre de chine
Pour méditer, les sadhus indiens s’enterrent dans le sable jusqu’au cou et les passants peuvent jeter une pièce sur le drap tendu devant eux. Ou leur piquer celles qui y sont déjà, vu qu’ils ne peuvent pas bouger (je sais j’ai un mauvais fond)